Au cours de sa vie, une personne travaille afin de construire son propre patrimoine. Quand vient la période du décès les biens sont donnés aux héritiers. Au moment du décès, s’il existe un testament le partage des biens suit les souhaits du défunt. Dans le cas contraire, le Code civil qui régit la succession selon la situation familiale du défunt. La meilleure manière de prévenir son décès est la rédaction du testament. La gestion du patrimoine suit les instructions du défunt selon son testament. Comment bien rédiger son testament pour que le partage se passe en bonne et due forme ?
Les contenus du testament
Le texte présente les souhaits du testateur sur le partage de ses biens. Cependant, il doit suivre quelques règles. Pour valoir de droit, il doit être rédigé sous formes écrites. Le testateur peut répartir ses biens selon les personnes qu’il souhaite hériter de sa fortune. Toutefois, ce droit est limité par les liens familiaux. Il doit donner un héritage à ses enfants et sa femme. Cette dernière dispose de droits sur le patrimoine du même que ces enfants. Les enfants issus d’union hors mariage ou adoptifs qui sont reconnus entrent légalement dans cette condition. Il peut donner d’autres biens à des personnes qui n’ont aucun lien avec lui. Il doit également désigner un exécuteur testamentaire. Cette personne aura pour rôle de veiller à ce que les contenus du testament soient respectés. Des conditions sur un refus d’héritage des héritiers devraient également être écrites pour éviter les discordes.
Les conditions de formes à respecter
Pour que le testament soit légal, le testateur doit être qualifié de sain d’esprit. C’est-à-dire qu’il possède toutes ses capacités mentales dans la rédaction. La présence de témoins est vivement recommandée. Il doit bien établir la qualité de ses héritiers pour qu’ils puissent bénéficier pleinement de l’héritage.
Ces conditions remplies permettent au défunt de bien partager son héritage sans qu’il n’y ait de conflits après son décès.